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guy janvier - Page 18

  • LA POLICE MUNICIPALE DE VANVES AU COEUR DU DEBAT SUR LA SECURITE (Suite)

    Vanves Au Quotidien continue aujourd’hui à raconter l’histoire de la police municipale de notre ville dont les effectifs ont été réduit drastiquement par Guy Janvier dés son arrivée à la mairie. Mais contre la force des événements et le développement d'un sentiment d'insécurité parmi la population, notamment sur le Plateau, il a dû plus ou moins la reconstituer en l’installant même dans les locaux qu’elle occupe encore aujourd’hui sur le Plateau

     

    1995-2001 : LA GAUCHE REDUIT ET AUGMENTE SES EFFECTIFS A L’INSU DE SON PLEIN GRE

     

    Dés son arrivée à la Mairie en Juin 1995, Guy Janvier (PS) a réduit les effectifs de la police municipale au stricte minimum,  passant en six mois de  15 à 4/5 agents, car elle coûtait trop chére, et rédéfini ses missions - priorité à l’ilotage, surveilance du stationnement, prévention, accompagnement des personnes âgées -  en ayant souhaité la détacher de tâches administratives. « Les polices municipales doivent passer 95% de leur temps de travail dans la rue auprès des vanvéens pour mener à bien leur véritable mission : le travail de proximité » expliquait le maire.  Résultats : vols, cambriolages, braquages, petits délits, vandalisme, bagarres entre bandes se sont du coup multipliés provoquant de nombreux mécontentements, protestations des habitants du Plateau qui se sont intensifiés fin 1996/début 1997. Du coup l’opposition de droite s’est emparée de ce théme menant la fronde contre la majorité municipale de gauche. Didier Morin (UMP) interrogeait Guy Janvier (PS)  en conseil municipal sur « cette police municipale qui fond comme neige au soleil ». Le Parisien titrait à l’époque : « Suite à la tension de ses dernières semainers, l’ancien maire réclame des policiers municipaux ». Un tract circulait  dans la ville : « halte à l’insécurité sur le plateau ». Et le maire essayait de se faire entendre difficilement en expliquant notamment lors d’une réunion publique  en 1996 « qu’il n’y avait pas lien entre la réduction de la police municipale et le développement de la délinquance ». Mais voilà  beaucoup de vanvéens pensaient le contraire en mettant en cause l’absence de la police municipale et le manque d’effectifs de la police nationale.

    Cette police municipale était à l’époque sous l’autorité d’un  certain Tighremt, qui a mis en place malgré tout,  une brigade à vélo de deux agents pour l’opération « tranquillité vacances », puis une permanence à l’espace Solidarité (110 av v.hugo) maintenant Sébastien Giner,  durant l’été 1998. Mais voilà, au fil des ans, à la suite de nouveaux événements et à un sentiment grandissement d’insécurité parmi la population, notamment sur le Plateau, Guy Janvier a dû se resoudre non seulement à augmenter le nombre d’agents municipaux à partir de 1997/98 jusqu’à une dizaine à la fin de son mandat (6 agents assermentés, 4 agents de surveillance de la voirie auquel il ajoutait les 8 agents de surveillance des espaces verts) mais aussi à les ré-installer en Janvier 2001 dans son local de 100 m2 du 55 rue J.Jaurés. Il est vrai que la polémique était reparti de plus belle, entetenu par son nouvel adversaire, Bernard Gauducheau (UDF) qui animait alors l’opposition municipale depuis son élection au Conseil général (en Mai 1998) « 25 tribunes de l’opposition ont porté sur le thème de la sécurité lorsque Guy Janvier dirigeait la ville, il n’y en a eu aucune de l’opposition à Bernard Gauducheau depuis 7 ans dans le bulletin municipal » constatait Henri Paul lors de la campagne électorale de 2008. « On n’a pas exploité les faits comme l’a fait la droite. Et l’on sait bien que ce problème reste récurant dans le quartier du Plateau avec ses jeunes qui restent au bas des immeubles. Vanves n’est pas une ville qui pose des problèmes majeurs (20 faits pour 1000 habitants) . Par contre, il y a une hausse de la délinquance des mineurs (+30%) notamment dans le quartier du Plateau » reconnaissait il.

     

    A SUIVRE…

     

    DANS LE CREUX DE L’OREILLE DE L’INTERCO

     

    COORDINATION : Bernard Roche a été chargé, avant la trêve estivale,  par l’Interco de la coordination des interventions des services techniques communautaires et communaux sur l’espace public et les relations de proximité avec les villes

     

    RAMASSAGE SCOLAIRE : Vanves a conservé cette compétence transférée à l’interco, compte tenu de ses moyens en matériel roulant et personnel. Deux écoles sont concernés : Le Centre pour l’école primaire installée durant les travaux de Cabourg, dans le périmétre du lycée Michelet, car les parents n’ont pas voulu d’un accompagnement à pied (Pedibus). Service qui est gratuit de surcroît. Et l’école Jean de Lafontaine à Issy les Moulineaux.  

  • LES CONSEQUENCES JURIDIQUES D’UN ACCIDENT A LA LIMITE DE VANVES

    Conseil Régional auquel siége Bernard Gauducheau (NC) et Conseil Général auquel siége Guy Janvier (PS) ont tenu leur dernière réunion avant la trève estival au cours du mois de Juin. Le Blog Vanves Au Quotidien vca revenir sur certaines de leurs décisions au fil des prochains jours car elles font partie du débat politique ou concerne plus ou moins Vanves comme cet accident dramatique de l’été dernier.

     

    L’accident survenu durant l’été 2009 avenue du Général de Gaulle à la limite de Vanves et d’Issy les Moulineaux a eu des conséquences juridiques examinées par le Conseil Général lors de sa dernière séance du 25 Juin dernier. Un cycliste avait été écrasé par un arbre qui s’était abattu lors de son passage, ce qui avait crée un différent juridique entre le Conseil Général et laz mairie d’Issy Les Moulineaux sur l’élagage de ses arbres plantés sur les voies départementales.  Le Conseil Général avait pris la décision voilà 5 ans de pouvoir confier l’élagage de ses arbres aux communes « car c’est une compétence beaucoup mieux remplies par celles-ci » selon Patrick Debvedjian, Président UMP du Conseil Général, ces dernières agissant pour le compte du département. « D’autant plus que beaucoup de leurs habitants ne comprenaient pas pourquoi des arbres étaient élagés dans certains voies et d’autres pas, ce qui était source de méciontentement et de dépenses car on faisait intervenir deux entreprises différentes ».

    Mais voilà, à l’occasion de cet accident, « le juge s’est prononcé sur le problème juridique expliquant que les villes surveillent plus ou moins bien l’état de ses arbres, et surtout de leur dangerosité. Or le Conseil général aurait dû veiller à ce que cette surveillance soit (mieux exercée). Pour régler cette question, il a carrément dit qu’il faudrait en passer par la loi en transférant une partie de la compétence du départemlent sur sa voirie aux communes, concernant les arbres » a expliqué Patrick Devedjian lors des débats. « Cela va bien au-delà de ses problèmes d’entretien » a expliqué Guy Janvier (PS) relayé par Pascal Buchet (PS) son conffrére de Fontenay Aux Roses : « La question est identique sur d’autres aspects de la voirie avec l’entretien de la signalisation, des trottoirs… ». Du coup Hervé Marseille, Maire NC de Meudson a conclu que « C’est un problème global. Le droit là-dessus est confus. Le propriétaire doit intervenir. Mais que fait on du pouvoir de olice du Maire ? ». Toutes ces raisons ont conduit le Conseil Général a reprendre dorénavant l’entretien de l’ensemble de ses 36 600 arbres.

     

    DANS LE CREUX DE L’OREILLE

    JOIE : Plus de 150 invités se sont pressés Lundi soir sous l’orage menaçant à l’Amandine pour saluer Gilbert Chauvin et son épouse qui ont décidé de passer la main. Maire, sénateur, adjoints, élus, responsables associatifs et surtout les amis ont partagés quelques verres de Chinon et quelques mets dans et hors du restaurant tellement le temps était lourd et chaud. La surprise est venue de 12 copains qui sont arrivés de la rue de la République comme une fanfare des Beaux arts jusque devant l’entrée du restaurant. Et puis ils se sont installés sur une petite scéne pour animer une soirée qui a dû se terminer très tard.

    PEINE : Beaucoup de ceux qui ont bien connu Maurice Magne ont été peiné par l’annonce de sa disparition comme François Praud, président du Stade de Vanves qui lui a succédé et qui a envoyé ce mail à tous les dirigeants de cette association : « C'est avec une profonde tristesse que je viens d'apprendre le décès de Maurice Magne. C'était un Monsieur exemplaire, un Monsieur remarquable.  Il était notre maitre et il restera notre Président. Il avait eu 93 ans le 16 février 2010. Comme vous je suis malheureux et très peiné. Nos pensées vont à sa famille ». Beaucoup de vanvéens devraient être présent le Jeudi 1er Juillet 2010 à ses Obséques prévues à 15H à la Chapelle Saint Marc à Malakoff (67 rue Hoche) et son inhumation au inhumation à 16H au cimetière de Vanves

      

  • L’ASCENSION A VANVES : UN PONT INTERGENERATIONNEL ENTRE UN MOINS DE 20 ANS ET UN NONAGENAIRE

    UN PRIX DU CIVISME A UN JEUNE VANVEEN

    La commission civisme de l’association des membres de l’ordre National du Mérite du département des Hauts de Seine a créée le prix du civisme attribué à des jeunes ou groupes de jeunes de moins de 18 ans « qui leur est remis pour un acte exemplaire ou pour des engagements personnels, grâce à des parents qui leur ont transmis des valeurs républicaines et civiques en mettant en avant le « Nous » plutôt que le « Je » a indiqué son président.  C’est la seconde fois qu’un jeune vanvéen est mis à l’honneur et a reçu mardi soir à l’hôtel de ville de Vanves en présence de Bernard Gauducheau, d’Isabelle Debré, Guy Janvier et de Xavier Lemaire chargé du CMJ, cette médaille en présence bien sûr de toute sa famille. Il s’agit de Jullien Le Goff, en 3éme au collége Saint Exupery et membre du CMJ depuis 2007. Il est ainsi très engagé sur le plan humanitaire, le devoir de mémoire en participant à des cérémonies patriotiques comme ce fut le cas le 8 Mai dernier lorsqu’il a déposé une gerbe place de la République avec une de ses camarades, et « il est un élément vecteur vis-à-vis des autres jeunes » a indiqué le président de cette Commission qui lui a remis cette médaille qui représente une main qui transmet le savoir comme pour les artisans.

    « Une de nos missions est d’impliquer les jeunes. Et de leur donner la parole lorsque c’est chaque fois possible. Ils ne font pas parti des commentateurs des événements, mais ils s’engagent et agissent, ce qui n’est pas donné à tout le monde. Je souhaite que tu continues au sein du CMJ et peut être un jour au Conseil Municipal des Adultes pour participer au monde qui nous entoure » a déclaré le maire. « Je ne ferais pas l’éloge du fils mais du père. Car nous travaillons ensemble pour le bien commun des vanvéens (au CCAS) même si nous ne sommes pas toujours d’accord. Mais c’est très agréable de travailler dans cette atmosphére aux affaires sociales » a déclaré Isabelle Debré en parlant de Jean Cyril Le Goff bien sûr, conseiller municipal PS. « Je suis ému, car je viens de terminer et de rendre un rapport sur les mineurs étrangers isolés. Et j’aurais bien voulu mettre ces mains pour illustrer ce rapport. Quand on  voit tous ces jeunes venir en France pour une vie meilleure, je souhaite que chez nous, les jeunes la saisisse, comme toi, Jullien ».

     

    90 BERGES POUR LE FONDATEUR DU CIV

    Alors que le pôle intergénérationnel animé par Pierre Meige donnera son spectacle musicale et poétique à 15H à la Maison de Retraites Larmeroux, désertant ainsi Le Relais de Vanvres, un vanvéen l’investira pour célébrer, en famille, ses 90 ans. Il s’agit bien sûr d’Henri Louis Barolet qui se promène toujours dans les rues de Vanves avec son appareil photo. C’est un personnage de notre commune  qui a dû immortaliser tous les événements heureux et malheureux de notre commune, depuis  l’exode, l’occupation et la Libération – le service des archives Municipales en contient de nombreux exemplaires des photos qu’il a pris - jusqu’à aujourd’hui. Comme cette photo prise du haut de l’immeuble où il habite, entre les rues V.Hugo et S.Carnot  à 40/50 ans de distance sur le paysage de Vanves vers Issy-Meudon

    C’est un enfant du XIVéme qui a rejoint tout de suite Vanves parce que son père était directeur des établissements Javel Lacroix. Ce sont les toiles de maître d’un expert, ami de ses parents, qui lui ont donné ce goût pour l’image, et sa tante qui lui a offert son premier appareil photographique, un 6x9 N&B à soufflets. Depuis, il n’a pas arrêté de se passionner pour l’image qu’il a dans le sang, profitant de ses temps libres pour flâner à Vanves et à Paris, saisir des scènes de la vie quotidienne ou des images insolites, du Lycée Michelet où il a fait ses études à l’industrie automobile (Panhard, Renalt, Ford, Simca, Fiat, Chrysler, Talbot,  Peugeot) où il a travaillé et maintenant à la retraite qu’il a prise en 1981.

    Il a tout vécu de la révolution de la photo et du cinéma de l’argentique au numérique, du 8 mm à la vidéo, jusqu’au DVD,  passant du cinéaste au vidéaste amateur. Et il pourrait en parler pendant des heures avec des tas d’anecdotes à raconter car c’est un homme qui aime passionnément la vie. Enfin, c’est quand même le fondateur du CIV (Ciné Image Vanves) avec cette Coupe de l’Amitiés créée en 1964, qui a participé à de nombreux tournages de films d’amateurs en tant qu’assistant réalisateur ou éclairage. Et ce féru du 7éme art fête ce samedi ses 90 ans en plein festival de Cannes, ce qui est une forme  de clin d’œil pour cet admirateur de Truffaut, Becker, Rohmer, même s’il avoue une préférence pour l’image fixe :  « On y trouve parfois autant de vie et de mouvement que dans l’image animée ». Bon anniversaire, monsieur cinéma de Vanves